Le texte constitutionnel français de 1992 déclare que la langue nationale de la France, c’est le français. Dans la révision de 2008 on a ajouté que les langues régionales sont patrimoine de la France. Bien que dès 1794 tout l’enseignement se soit fait (fasse) en français, à la moitié du XIX siècle encore 20% des Français parlaient seulement leur langue régionale.
Aujourd’hui se conservent environ 75 langues régionales, la plupart d’entre elles (eux) en outre-mer, mais elles sont en voie (risque) de disparition car il n’y pas de transmission entre générations et la plupart des locuteurs ont plus de 60 ans. Malgré cette situation, actuellement un nouvel(au) intérêt pour(ar) ces langues est apparu, relié à leur fonction comme marqueurs d’identité face à la mondialisation.
Dans certaines régions on enseigne leurs propres langues bien qu'en petits groupes (très petit nombre (numéro) d’élèves. On se demande si quelque chose changerait si ces langues étaient (fussent) enseignées à(dans) l’école.
En regardant la carte de la France on se rend compte que les langues régionales se parlent notamment dans des départements périphériques de l’Hexagone et que, dans plusieurs cas, elles s’étendent des (aux) deux côtés de la frontière avec d’autres pays, ou bien sont propres aux (de) régions insulaires –Corse- ou relativement isolés, comme la Bretagne.
En (Par) nombre de locuteurs, les langues les plus parlées sont l’alsacien (650.000) et l’occitan (600.000) tandis que les (plus) minoritaires sont le basque (50.000) et le flamand (30.000). Au milieu de la table se trouvent le breton (200.000) et le catalan (110.000).
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