30 oct. 2019

Fil de discussion. Séries

Salut les camarades! Je dois vous avouer que je ne suis pas du tout passionné par les (des) séries programmées par les chaînes de télévision. Et encore moins par les (des) séries téléchargées des plateformes qu'on appelle VOD. En fait, je n'ai jamais utilisé (fait servir) ces plateformes. Peut-être suis-je un homme d'une autre époque, mais j'ai toujours un certain préjugé (préjudice) qui m'empêche de m'intéresser à (par) telle ou telle série, bien que ses vertus et qualités aient été chantées (prônées) aux quatre vents par la publicité ou par des articles de presse. J'y vois toujours un mauvais produit à vendre dont je peux être le dupe. Et par ailleurs, et cela peut-être est-il un autre préjudice, je crois que les affaires commerciales sont le seul pouvoir qui contrôle le monde des séries, et qu'ils ne laissent pas une grande place à la créativité individuelle (des créateurs) ou à des messages qui ne sont (soient) pas en phase (ligne) avec l'idéologie néolibérale. Voilà, je les vois comme une arme idéologique. Cela résume un peu ma pensée vis-à-vis des (les) séries. Évidemment, cela arrive aussi au cinéma, mais je crois, probablement parce que les productions cinématographiques bon marché sont encore à la portée de n'importe qui (quiconque), que dans le monde du cinéma il y a encore une fente qui permet d'exister à des films où la créativité du réalisateur n'est pas contrainte ou du moins pas absolument écrasée par le business, ou censurée par l'idéologie dominante. J'ai aimé et j'aime avec ferveur, comme une religion, le cinéma. Et cela en dépit du fait que je n'y aille pas très souvent. La raison est que je vais juste voir (regarder) les films dont je suis convaincu que je n'en sortirai pas déçu. J'espère que ce cinéma, (celui) artistique, personnel, contestataire, indépendant, engagé, ne va jamais disparaître.

23 oct. 2019

Une chronique sur les nouvelles séries romantiques

Bonjour (Salut), Voici le résumé (la résumée) sur la chronique qu’on a vue hier soir:

Médiation :


La chronique télé des séries d’aujourd’hui nous parle des séries romantiques. Le journaliste spécialisé commence par nous résumer les trois séries romantiques les plus importantes historiquement : La croisière s’amuse, Dingue de toi et Sex in the city. Puis il nous présente la nouvelle sensation d’Amazon Prime Modern Love. Côté français il nous fait nous rappeler du feuilleton de la fin des années 70 Paul et Virginie, adapté du roman éponyme de Bernadin de St Pierre qui se passe à l’île Maurice avant(s) de nous dévoiler la nouvelle série de Netflix Plan cœur, ou trois copines essaient d’améliorer la vie sentimentale d’une d’entre elles.

22 oct. 2019

Une chronique sur les nouvelles séruies romantiques

Si vous raffolez des séries romantiques, après La croisière s'amuse ou Sex and the city, maintenant sur vos écrans, vous pouvez profiter de Modern Love, la nouvelle série sur Amazon Prime qui nous montre des histoires d'amour réelles envoyées au New York Times par ses lecteurs.

Mais aussi après les grands classiques comme Paul et Virginie, il y a des nouveautés en français, la deuxième saison de Plan Coeur est arrivée, l'histoire d'amour entre Elsa et un escort boy, embauché par ses copines après la rupture sentimentale dont elle ne se remet pas. Vous pouvez la suivre sur Netflix.

Fil de discussion: Séries vs films

Voilà ça y est, premier fil de discussion de l'année en marche !
Et le thème est prêt à servir des opinions contrastées... Moi je suis bien d'accord avec les (des) opinions exprimées par les deux camarades (pour nôtres deux collègues) qui ont déjà laissé leur(s) avis.
Comme Marian, je pense que la différence de format entre série et film n'implique pas nécessairement de différences de qualité comme produit audiovisuel (évidemment, on connaît(isse) tous de bonnes et mauvais(s)es séries, de(s) bons et ma(o)uvais films). Et bien sûr(e), je me félicite de son optimisme en ce qui concerne (envers) le futur de la création audiovisuelle!
Je partage aussi la préoccupation de Manu pour /envers les effets de la généralisation des plateformes VOD sur les salles de cinéma, qu'on appelle déjà "classiques", envers la modernité des logiciels et appareils audiovisuels pour la maison. Ce qui me rassure (calme), c'est de voir que lui il est bien équipé pour faire face à toute possible conséquence, armé(e) de ses (ces) pop corns. ;)
Ainsi, à mon avis, le problème avec les séries ce n'est pas par rapport à leur qualité face aux films, mais, comme Manu, je pense qu'il y a un risque en relation avec les (aux) modes de consommation "classiques"de film(e)s dans les salles de cinéma. On a (encore...) l'habitude de regarder des films dans les salles de cinema, et cela constitue (alors ça devient) un acte social, on partage les film(e)s avec d'(des) autres personnes, ainsi que nos (nôtres) opinions sur ce qu'on vient de regarder. Mais, par contre, avec les plateformes VOD on devient des consommateurs de séries "en série" et en solitude. C'est-à-dire, avec les séries sur VOD on consomme isolés et rapidement. Et ce n'est pas une question(s) de format des séries vs. les films. Quand il n'y avait que des séries émis(s)es par les chaînes de télé (TV) ça faisait aussi des moments partagés, soit parce (par-ce) qu'on les regardait (régardé) avec des amies, soit parce (par-ce) qu'on les voyait tous au même moment, la même soirée, alors on en parlait le jour suivant (après) avec ses (les) collègues(eagues).
Bref, à mon avis le problème n'est plus de format (séries vs. films) mais de modes de consommation de produits audiovisuels de façon rapide, irréfléchie (irreflexive) et en solitude. Peut-être, alors, est-il (il est) question du fait de "consommer", INCOMPRÉHENSIBLE qu'à la base il s'agit que du temps et d'individualiser, mais pas de l'art et le loisir partagés...

20 oct. 2019

Fil de discussion: Séries vs films

Oui, je suis consommateur de séries, une addiction (que) comme une autre, de la même façon que je raffole de chocolat ou de pizza (j'aime trop le chocolat ou la pizza). Mais je suis aussi un grand amateur de(s) films.
Pour moi, aller au cinéma c'est vraiment excitant, choisir le film, acheter des pop corns, attendre à la porte et imaginer comment le film va se dérouler, et sortir avec plein(s) de sentiments dans la tête, oui c'est vraiment un des bons moments de la vie. Et normalement, c'est comme ça, ceux qui aimons les séries, aimons aussi le cinéma, donc je ne crois pas que les unes aillent faire disparaître l'autre.
Par contre, les plateformes de vidéo ou séries à la demande (VOD) comme Netflix ou HBO produisent elles-mêmes leurs (ses) films aussi, et ces films ne passent, ni ne passeront jamais dans les (aux) cinémas, et si l'on peut penser que ces films n'ont pas de qualités, et bien justement (donc) non, puisque le dernier film lauréat de(avec) l'oscar américain a été (justement) un film de ce type. (et) C'est là où je vois la possibilité de disparition du cinéma classique car les gens vont rester chez eux pour (à) voir les films et ne pas aller au cinéma ou peut-être n'y aura-t-il (il n'y aura) plus autant de(s) films qu'(comme) avant qui sortiront dans les salles obscures. De (En) plus, les appareils de télévision aujourd'hui ont une qualité d'image très bonne avec le HD, des fois meilleure qu'au cinéma, tout ça, sans dire que tu peux arrêter le film quand tu veux, et évidemment revenir (tourner) en arrière toutes les fois dont tu as besoin.
Moi, si jamais ça arrive, bien que je préfère aller au cinéma, j'ai déjà acheté un super écran énorme et un projecteur (cagnon) télé et au moins, de (ce) cette façon je pourrai ressentir toute la magie du cinoche, chez moi avec plein de(s) pop corns, du coca et des bonbons, bien évidemment.

19 oct. 2019

Fil de discussion: Séries vs films

Salut tout le monde ! 

Pour commencer le fil de discussion sur les séries, voilà ma petite contribution.

Ce que je pense sur le débat films versus séries est que, vraiment, il n’y a pas de débat. C'est-à-dire, il n’y a pas vraiment de controverse ou d’incompatibilité entre les deux. Les personnes qui se définissent comme des sériephiles sont aussi des dévoreurs (dévorateurs) insatiables de(s) films. Donc, pas de soucis. Quant au futur (à la future) de ces deux formes d’art, je ne crois pas qu’une d'entre elles disparaisse / je crois qu'aucune d’entre elles ne disparaîtra. Il sera plutôt de plus en plus difficile de les classer (classifier) en catégories (termes) de films ou séries, car (. Car) le format change très rapidement, particulièrement pour les séries, qui admettent toute sorte de combinaisons de durée par épisode, nombre d’épisodes ou de saisons, continuation ou pas de l’histoire entre les épisodes… Je prédis(e) un long avenir à l'audiovisuel (pour les audiovisuelles) en format streaming.

C’est la télé qui doit s’adapter aux nouveaux temps !

Attention à la négation Marian