8 févr. 2017

Écriture collective sur un polar (travail premier livre)

FICHE TECHNIQUE DU COMMISSARIAT

Nom : Pétain

Prénom : Olivier

Nationalité : franco-libanaise

Âge : 50 ans

Situation de famille : divorcé, 3 enfants

Profession : taxidermiste

Loisirs et goûts : jouer,  la voile, le parapente, faire la fête, le luxe, allergique aux fruits de mer (huîtres)

Type de mort : égorgé
Date : 26/02/2016
Heure : minuit
Lieu: Venise, Pont des Soupirs
Arme : à découvrir

Autres précisions : il avait des antécédents pénaux pour trafic de drogues, il a vécu en Russie.

Objets retrouvés: un mégot, un rouge à lèvres, un soutien gorge rouge, un vinyle de Bob Dylan


Pistes:
- sur la scène du crime un voisin a vu une femme qui partait en courant.
- une empreinte de sang.


Observations :
- le mort était en contact avec le gouvernement russe.

- il travaille depuis quelques années dans un club de travestis à Paris.

Chapitre 1 – De l’amour à la mort. (Rafael)

Ah ! Le pauvre Pétain !
En fait, son prénom était Olivier, mais je l’appelais par son nom de famille, parce que je le trouvais amusant, comme lui-même.
Il ne s’arrêtait jamais : il pratiquait la planche à voile, le parapente... Et il aimait toujours faire la fête. C’était une personne très active, mais pas dans tous les domaines, heureusement pour moi, car nous étions amants.
Moi, je suis tombé amoureux de lui il y a quelques années. Le jour où je l’ai connu, au sens quasi biblique du terme, il portait un soutien-gorge de la même couleur que ses lèvres. J’ai fait l’expérience du premier coup de foudre de ma vie.
Par contre, Pétain ne m’a jamais aimé, car il était incapable d’aimer.
J’avais l’habitude de lui demander après chacun de ses fréquents et longs voyages si je lui avais manqué. Il me répondait qu’il n’ avait jamais eu l’impression d’avoir manqué à quelqu’un.
Maintenant je suis sûr qu’il ne va plus manquer à personne : il est mort.

Chapitre 2 : NOTE  DE PRESSE (Tomeu)

Le commissaire Maigret a été chargé de l’enquête du terrible crime qui a bouleversé tout le monde à Venise. Il vient de déclarer qu’on n'a pas encore de piste fiable et que l’enquête est déjà engagée.
Pour le moment on a une victime égorgée qui ne présente aucune empreinte qui puisse ouvrir de nouvelle perspective  dans l’enquête. On est aussi en train de vérifier les empreintes laissées sur le vinyle retrouvé sur la scène du crime qui pourraient bien être celles de la victime. On va faire aussi les analyses de l’ADN trouvé sur le rouge à lèvres et sur le mégot, au cas où il y en aurait. Assurément,  elles vont permettre d’en savoir plus. Il y a beaucoup d’indices comme on peut voir, mais  aucun suspect ni aucune piste fiables.
Le commissaire a ajouté qu’il interrogerait dès que possible les collègues de travail d’Olivier Pétain. Le commissaire a voulu préciser que, malgré les rumeurs que Pétain était victime d’harcèlement sexuel par son patron au club, rien n’avait été encore confirmé dans ce sens, mais qu’on était en train de chercher dans différentes directions. Demain on en saura peut-être plus.

Chapitre 3 : le cauchemar de l’inspecteur. (Paz)

Cette nuit, le commissaire Maigret était inquiet, il n’arrivait pas à s’endormir malgré avoir mélangé l’alcool et les comprimés de Prozac.
La mystérieuse mort d’Olivier Pétain le hantait. Pourquoi le préfet lui avait-il exigé de ne rien révéler à la presse sur ses antécédents pénaux pour trafic de drogues? Pour le moins, c'était curieux. Ce n’était pas insensé de penser qu’il y ait une relation avec son crime. Certes, le mode opératoire n’était pas la façon habituelle des mafias de la drogue pour régler leur compte, mais rien dans ce cas ne paraissait normal.
D’autant plus qu'il ne fallait pas oublier qu’une semaine auparavant l'un de ses fils, Albert âgé de 21 ans, s’était fait tuer dans d’étranges circonstances…Quel rapport y avait-il entre les deux crimes? Peut être aucun, cependant il devrait interroger l’ex épouse d’Olivier, sûre qu’elle en savait plus que ce qu’elle en avait dit lors de sa première déclaration.
Nom de Dieu! Que faisait Olivier en Italie? Ses proches avaient déclaré qu’il haïssait les carnavals. C’est évident qu’il en avait marre de se déguiser chaque nuit pour son travail au club  de travestis.
Définitivement cette enquête n’était pas facile…


Chapitre 4  (Mari Carmen) La tristesse est-elle un alibi? 

Le lendemain j’ai décidé de rendre visite à son ex-femme, divorcée depuis longtemps. Rose Pétain parlait avec un mégot aux lèvres, d’un rouge cerise intense, la nostalgie et la rage imprimaient les virgules et les points de ses phrases.
« Quand mon fils est né, Olivier n’était pas heureux, il partait chaque soir prétextant n’importe quelle excuse. Je le sentais de plus en plus nerveux et distant. Un jour, n’en pouvant plus, je lui ai demandé ce qui lui arrivait. Il m’a avoué non seulement qu’il avait une aventure avec un travesti mais aussi qu’il venait juste de savoir que celle-ci, appelée Adèle, son premier amour, n’était pas une femme.
À partir de ce moment-là tout a changé chez lui et peu après il a décidé de se changer en femme à jamais. Cependant Adèle l’a laissé. Et pourquoi donc ?
Olivier est alors rentré dans une spirale de destruction où il risquait de m’entraîner avec lui. J’ai eu peur pour moi et les enfants.
La nuit de son assassinat, j’étais loin, très loin, enfermée dans ma douleur, comme vous devez le savoir on a aussi perdu Albert. Le regard fixe, elle se plongea dans un silence de plomb et elle me pria de m’en aller. Je n’ai pas eu le temps de réagir… sa tristesse m’avait soudain envahi.

Chapitre 5: LE MADAM (Pepa)

À cinq heures du soir les couloirs et les loges prenaient vie. Des plumes, des maquillages, des paillettes, des perruques, les rires, le bruit, les nerfs...Dans la salle, une lumière tamisée et de la musique douce. Tout se préparait pour la représentation de ce jour-là
Maigret commença à interroger les copines de Violette (nom artistique de Pétain).
Commençons par Loulou (l'une des plus anciens travelos du club) :
 « Elle voyageait tellement que nous n'avons rien suspecté, nous n'avons pas trouvé bizarre son absence la semaine dernière. Elle est rentrée chez nous il y a  deux ans pour Adèle et elles ont repris une ancienne relation plutôt orageuse ... La dernière dispute a été extrême.
Adèle a disparu depuis cette sacrée bagarre et on ne l'a plus revue au club. Violette a menacé de la laisser.
Le commissaire Maigret a essayé d’en savoir plus sur les rumeurs  de harcèlement sexuel de son patron mais personne ne savait rien.
Marie :
«  Dernièrement Violette était très nerveuse, elle recevait des visites étranges et quelquefois elle allait chez des clients en dehors du club. »
Le commissaire a inspecté leur loge et a trouvé un vinyle de Bob Dylan identique à celui qui a été trouvé à côté du mort.
Maigret le prit, ainsi qu’un mégot qui était encore là…


Chapitre 6   Une rencontre inespérée    (Magdalena Cerdà)

Après sa visite au club Le Madam, Maigret marchait vite dans la rue, il était absorbé par ses pensées, tous ces indices recueillis jusqu’à présent sur la mort de Pétain, tous les acteurs de ce drame: l’ex-femme blessée, le fils mort, l’amant abandonné, les collègues du club. Soudain, un bruit l’a réveillé. Il a remarqué quelque chose d’étrange, comme si quelqu’un le suivait. Maigret a décidé de se cacher dans l’entrée d’un bloc d’appartements afin d’attraper le persécuteur. Paf!
Eh! Qui êtes-vous? Pourquoi me suivez-vous? – a demandé Maigret.
Moi? Je suis Désirée – a dit doucement et effrayé un travesti blond – Je vous suivais parce que j’ai quelque chose à vous dire sur la mort d’Olivier.
Et pourquoi pas au club, d’où je viens d’interroger ses collègues? – a répondu Maigret d’un ton bourru.
J’ai peur. Je ne veux pas que les autres travestis me voient avec vous – a précisé Désirée les larmes  aux yeux.
Olivier et moi étions très bons amis. J’étais avec lui quelques heures avant sa mort. J’avais remarqué qu’il était très nerveux. Il m’a dit qu’il avait un rendez-vous avec quelqu’un cette nuit-là. Cependant, il ne pouvait rien dire. D’ailleurs, comme il craignait pour sa sécurité, il m’a donné un objet très important à garder, une clé USB. Après sa mort, j’ai essayé de consulter le contenu, mais le seul fichier nommé «мангуста» est protégé avec un mot de passe inconnu – a avoué Désirée alors qu’elle remettait finalement la clé USB rose au commissaire.

Chapitre 7  Venise. Le cercle se resserre.    (Juana Mª Martínez)
Après l’arrivée des résultats des analyses des échantillons ADN retrouvés sur le mégot et sur le vinyle, qui montraient que les empreintes ne correspondaient pas à celles d’Adèle, et attendant encore que la police scientifique trouve le code de la clé USB avec le fichier russe, le commissaire Maigret a décidé de s’en aller à Venise pour perquisitionner la chambre d’hôtel, interroger des témoins et poursuivre l’enquête de plus près. Il se doutait que dans la clé USB il y avait des pistes fiables sur l’assassin. On allait y trouver des informations très intéressantes sur les affaires secrètes de M. Pétain, certes, mais certainement d'autres  sur ses relations dangereuses entre lui, la Mafia russe et quelques hommes  du monde de la politique et sûrement aussi de la police.

Il fallait alors savoir ce qu’il faisait, Olivier Pétain, en plein carnaval de Venise, avec qui donc avait-il rendez-vous?

Une fois à Venise, il s’était dirigé tout de suite au commissariat de police pour rassembler l’information que la gendarmerie disposait, et où il avait appris, que le jour du crime, il y avait deux Messieurs Pétain à Venise hébergés dans deux hôtels différents, Olivier Pétain à l’hôtel Grand Canal et Cédric Pétain à l’hôtel Ateneo, un hôtel trois étoiles dans une rue paisible.

Tout à coup le commissaire pensa à l’autre fils vivant de Pétain. “Oh, mais bien sûr! Comment n’y avait-il pas pensé avant?”

Cédric Pétain était le fils ainé d’Olivier Pétain. Il avait 25 ans, et d’après les photos que Maigret avait vues sur la commode chez Madame Pétain, il ressemblait beaucoup à son père. Plus encore et selon la mère, cette ressemblance n’était pas seulement physique mais père et fils s’étaient toujours bien entendu, mais depuis sa nouvelle vie, les problèmes entre eux avaient commencé.

Le commissaire Maigret avait aussi appris que le soir du crime, à l’hôtel on célébrait une fête de carnaval où il y avait environ 200 personnes invitées déguisées. Un lieu idéal, pensa-t-il, où passer inaperçu ne devait pas être si difficile.



Chapitre 8  En faisant des recoupements (Antònia)

Après avoir connu l’existence de Cédric Pétain, le commissaire Maigret a décidé de chercher des informations sur le fils aîné d’Olivier. Le commissaire considérait la situation ardue et complexe, un père et un fils tués dans des circonstances si  étranges, l’autre fils à Venise.
Tandis que la gendarmerie cherchait des informations sur Cédric Pétain, le commissaire est parti faire des perquisitions dans les hôtels où s’étaient hébergés les deux Messieurs Pétain. Il a découvert que le jour du crime, la fête de Carnaval s’était célébrée à l’hôtel Grand Canal, des témoins ont attesté qu’Olivier Pétain avait assisté à la fête bien déguisé et accompagné, cependant il l’avait abandonnée très tôt. Olivier était bien connu par le personnel de l’hôtel, il y séjournait deux ou trois fois par mois, ils ont avoué que d’habitude Olivier avait des rencontres avec différents individus. Maigret a cherché dans la chambre d’Olivier des indices, des signes, des pistes…. qui le conduisent à trouver l’assassin. Rien, absence totale d’indices.
Il est alors allé à l’hôtel Ateneo. La chambre de Cédric était en grand désordre, quelqu’un y était parti précipitamment. Il y avait par terre beaucoup d’objets éparpillés, il y trouva un rouge à lèvres cerise intense, un mégot, une perruque blonde et bien caché dans le placard un scalpel utilisé en taxidermie.
Serait-il l’arme du crime ? Qui avait séjourné vraiment dans cette chambre ? Le commissaire pensait, il faudra que le réceptionniste identifie Cédric. Cependant, le réceptionniste ne l’a pas reconnu.
Le commissaire Maigret est retourné au commissariat de police, l’information sur Cédric Pétain était arrivée.
Cédric Pétain, ingénieur informaticien, une fois que son père avait abandonné sa famille, s’était installé en Italie. Maintenant il travaille dans une multinationale dédiée aux développements logiciels. Le commissaire se demandait s’il y avait une relation entre la clé USB et Cédric, on devra attendre les réponses de la police scientifique.
On doit aller voir l’atelier d’Olivier et rechercher ses antécédents pour trafic de drogues s'ils existent...

Chapitre 9  À l'atelier du taxidermiste (Núria)
Au petit matin, le commissaire Maigret est parti vers l’atelier de taxidermie, 4 rue Notre Dame de la Gare  à Marseille. À côté de la porte il y avait une plaque avec une inscription :
« Olivier  Pétain et Alexis Givago -Taxidermistes – RDC à droite- »  le commissaire a sonné à l'interphone, alors a répondu la voix d'un homme, le commissaire s'est identifié et l'homme a ouvert la porte. Aux questions du commissaire l'homme a répondu qu'il était Alexis Givago, l'associé d'Olivier depuis 5 ans. Maigret a regardé la pièce ; la table de l'atelier où se trouvait un exemplaire de Faucon pèlerin et quelques outils, avec lesquels Alexis était en train de travailler. Après Maigret a aperçu qu'au plafond étaient accrochés des outils de taxidermie bien rangés, mais il y avait une place vide, celle d'un scalpel qui était de la même taille et forme que celui qu'on avait retrouvé dans le placard de la chambre de Cédric à l'hôtel Aténeo. 
Quand le commissaire a questionné Alexis au sujet de son associé, il a répondu que la semaine avant sa mort, il travaillait avec lui et qu'en ce qui concernait le scalpel qui manquait, il pensait que c'était Olivier qui l’avait pris. Alexis a avoué qu’il regrettait profondément  la mort d’Olivier.
Le commissaire se méfiait  d'Alexis Givago car, il pensait qu'Alexis cachait quelque chose et aussi à cause de son nom… peut- être avait-il un rapport avec la mafia russe.
Finalement, Maigret s'est dirigé vers le bureau de la police scientifique pour savoir s'ils avaient  trouvé le code de cette fameuse clé...

CHAPITRE 10 “MaHryCTA” (Alicia)
Quand Maigret a abandonné l'atelier, il est monté dans un véhicule policier camouflé pour aller au commissariat, situé dans la rue Paradis de Marseille. La circulation était dense, il était midi, l'heure de la sortie des écoles. Tout à coup, un mot sur un panneau publicitaire l'a laissé bouche bée, "MaryCTA". L'affiche annonçait une soirée dans une boîte de nuit située sur l'Avenue du Prado de Marseille. Le commissaire a immédiatement changé de direction, et il s’est dirigé vers cet établissement, en laissant la voiture garée en face pour éviter les soupçons. C’était un bâtiment de style russe oriental de trois étages. Maigret a alerté une patrouille de police pour avoir des renforts, rester tout seul, pouvait être très risqué.
La porte de cette boîte s’est soudain ouverte et, un jeune homme de 25 ans qui ressemblait très fortement à Olivier Pétain en est sorti. Sans doute, devenait-il être son fils Cédric. Il semblait attendre quelqu’un. Quelques minutes après, est arrivé Alexis Givago à bord d’un taxi. Les deux hommes avaient l’air très nerveux et ils étaient en train de se disputer. À un moment donné, Alexis Givago a attrapé Cédric par le cou et Maigret a vu qu’il portait un scalpel à la main. Il a alors immédiatement couru vers eux, en criant «Arrêtez ! Police». Les renforts sont arrivés juste à ce moment-là.  Cédric a commencé à pleurer. Il était dans un état d'angoisse terrible et il criait "papa, papa". En revanche, Alexis Givago est resté impassible, en dépit d'avoir été pris en flagrant délit.
Cette nuit fatidique, Olivier et Cédric Pétain s’étaient déguisés en femmes, ils portaient une perruque blonde, et les lèvres couleur rouge intense.
Le père était allé à Venise parce que son fils lui avait demandé de l'aider. Il avait eu des problèmes avec ses «amis» de la mafia russe à cause d'un défaut de livraison d'un paquet important de cocaïne, qui devait être caché et transporté dans un faucon pèlerin empaillé.
Cédric devait l'emmener au carnaval de Venise, et il était effectivement passé par l’atelier de taxidermie pour prendre la commande, mais Alexis Givago lui avait remis une copie d'un oiseau différent. Cédric ne distinguait pas bien les espèces et ne l’avait pas remarqué. Il avait donc séjourné à l’Hôtel Grand Canal, où la fête du carnaval avait lieu et où il devait faire la livraison. Le préfet était au courant de l'opération, et Cédric avait gardé précieusement les messages des trafics avec la mafia russe dans son ordinateur. Par prudence, avant de partir à Venise, il avait donné  à son père une clé USB contenant toutes les informations dans un fichier nommé « MaHryCTA ». 
En arrivant à l'hôtel, il s’était rendu compte que l'oiseau que lui avait donné Alexis n’avait aucun paquet à l'intérieur, il l'avait appelé aussitôt pour lui demander une explication, mais il n'avait pas pris le téléphone. Cédric eut l’idée de demander à son père de servir de médiateur avec les récepteurs de la marchandise. Il lui avait  cherché une chambre à l’Hôtel Ateneo car l’Hôtel Grand Canal était complet, mais Cédric avait laissé une clé de sa chambre pour son père à la réception.
Pendant la fête, Cédric avait aperçu Alexis qui flânait. Pourquoi était-il venu à Venise? Il avait eu peur et s'étair rendu aussitôt à l’Hôtel Ateneo pour voir son père qu’il n’a malheureusement pas vu de toute la nuit. Cédric avait changé de vêtement et avait laissé sa perruque et son rouge à lèvres dans la chambre.
L’assassinat  d’Olivier Pétain a été finalement le résultat d’une confusion d’Alexis Givago, collègue et amant du mort. Il voulait tuer son fils Cédric, comme il avait déjà éliminé Albert Pétain. Alexis vendait de la drogue que la famille Pétain devait livrer, en trahissant leurs partenaires russes, et il avait décidé de faire disparaître tous les témoins.
Quand il a été découvert, il s’est exclamé : Mon Dieu, le pauvre Pétain !