Les langues régionales dans l’Hexagone
Dans l’État français, il
existe à peu près 75 langues régionales (dont la plupart dans les (aux) territoires d’Outre-Mer), dont beaucoup (desquelles) ont (a) le risque de disparaître parce que la loi
reconnaît le français comme l’unique langue officielle, et ce, depuis 1794,
et les langues régionales comme une partie du patrimoine culturel national depuis 2008. Ces
langues, qui ne sont pas enseignées dans les (aux) écoles, sont parlées et transmises en
famille, mais elles ont progressivement connu un vrai déclin.
Ces langues ont une grande variation dialectale; les plus parlées, classées selon différentes zones géographiques sont l’alsacien, l’occitan, le breton, le catalan, le franco-provençal, le corse, le basque et le flamand. Si on observe la carte linguistique de l’Hexagone, on voit qu’il y en a qui sont parlées dans d'autres états (par exemple, c’est le cas du catalan et du (le) basque, qui sont parlés aussi en Espagne).
On peut trouver une manifestation de ces langues aussi dans la toponymie du pays ; ainsi, en breton (langue d’oil) Rennes s’écrit Roazhon, et Nantes Naoned; en occitan Toulouse est Tolosa; en provençal Nice est Nissa; et en catalan Perpignan est Perpinyà.
(Dans) ces derniers temps, il y a des mouvements citoyens qui revendiquent l’enseignement scolaire de ces langues parce qu’elles font partie de l’identité des gens, mais si le gouvernement répond à (attend) cette demande législative, s’ouvrira(e) la question des (sur les) conséquences qui(’en) peuvent en dériver.
Ces langues ont une grande variation dialectale; les plus parlées, classées selon différentes zones géographiques sont l’alsacien, l’occitan, le breton, le catalan, le franco-provençal, le corse, le basque et le flamand. Si on observe la carte linguistique de l’Hexagone, on voit qu’il y en a qui sont parlées dans d'autres états (par exemple, c’est le cas du catalan et du (le) basque, qui sont parlés aussi en Espagne).
On peut trouver une manifestation de ces langues aussi dans la toponymie du pays ; ainsi, en breton (langue d’oil) Rennes s’écrit Roazhon, et Nantes Naoned; en occitan Toulouse est Tolosa; en provençal Nice est Nissa; et en catalan Perpignan est Perpinyà.
(Dans) ces derniers temps, il y a des mouvements citoyens qui revendiquent l’enseignement scolaire de ces langues parce qu’elles font partie de l’identité des gens, mais si le gouvernement répond à (attend) cette demande législative, s’ouvrira(e) la question des (sur les) conséquences qui(’en) peuvent en dériver.
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