L’abattage animal est-il un crime ?
Manger d’autres
organismes des échelons inférieurs de la chaîne (du réseau) alimentaire est dans la nature. Donc,
on pourrait dire non, l’abattage animal n’est pas un crime. Et pourtant, de
plus en plus on connaît des personnes qui deviennent végétariennes ou végétaliennes pou(a)r des raisons
éthiques. Le second groupe ne veut même pas manger d'(des) œufs, de(du) lait ou n’importe
quel produit d’origine animal. L’élevage et surtout l’abattage des animaux sont
des processus(ès) obscurs et cachés qu’on ne connaît pas tellement. Alors (Pendant) que la
production de poisson est assez régulée obligeant les fournisseurs à donner
toutes (une) sortes d’informations en relation avec la provenance et le type de
pêche employée, l’origine de la viande et la procédure de traitement de l’animal
nous sont inconnus. Malgré cela, on a tous dans la tête des images terribles de
maltraitance et de souffrance des bestiaux dans les cages, pendant le transport
ou juste avant de mourir. Et ça peut continuer parce qu’on n’a pas besoin de
regarder cette souffrance et le découpage de la viande en morceaux bien
petits nous empêche de nous rappeler que ça a jamais été un animal vivant(e). Les rayons (étagères) des supermarchés sont plein(e)s de morceaux de viande parfaitement
coupés et remplis des sous-produits, enveloppés des plastiques spéciaux qui maintiennent
la marchandise en bon état quelques jours de plus.
Mais les esprits
commencent à s'(e r)éveiller. Les consciences travaillent à nouveau et on commence
à questionner cet élevage industriel et la surconsommation de viande. L’alimentation
végétarienne est disponible déjà dans les supermarchés quotidiens, et même les
plus carnivores essaient de réduire le nombre de(s) steaks par semaine, que ce (oique ça) soit par éthique, pour des (par) raisons climatiques ou de santé. L’avenir est-il peut-être dans la viande préfabriquée ?
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